8 janvier 2007
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17:19
Deux mondes si différents
Qui se cherchent et … Qui se rencontrent
dans Le Noir et le Blanc …
Est ce une belle réalité .. ? Rouge de Passion ?
Ou juste un chapitre dans l’interminable Roman ?
Deux esprits se retrouvent enfin ..
Et main dans la main … Ils tournent …
Ils dansent … Sur la Magie d’une Valse … Sur le libre Ton … Du hors Temps
Mais… Le 21ème siècle , en Bateau nous mène… Théâtre gris de notre scène
Avec son lot de plaisirs de bonheur et de beaucoup de peines
PETER PAN des temps Modernes
à la recherche
D’une CENDRILLON au cœur d’une reine
Tout se déroule à la Nord Africaine … Avec deux portables à l’Européenne
Les deux Tourtereaux se parlent … Se cherchent … Se complètent … Se mangent
Et les messages affluent … Se dessinent … Se suivent …
Sans traîne … sans peine … à la chaîne
Gémeau,
A lui seul … deux visages …
Tel un vrai mage
Tantôt généreux, sensible, tantôt dur, brutal … Tel un Roi selon un vieil adage
Joueur, déconneur et bon rieur … Mordant la vie avec rage
Se dit sociable !!?
Gaieté, joie de vivre avec bonheur … il les partage
Menteur, derrière le charme de son visage
Un monde secret, nature et paix…
Unique maître à bord, … Seul l’élu aura un accès
Notre gémeau est bel et bien un sage
Je tourne la page …
Voici Verseau,,
Royale est son sceau … Transparente est son Eau
Rebelle dans le traditionnelle, indépendante de ses idées, lucide dans ses pensées
Petite, fragile, aérienne telle une fée…
Contradictoire, entre un corps endiablé et une âme de bébé
Manque de pot
Le verseau a toujours besoin d’être secoué… est ce faux … est ce vrai ?
Voilà une histoire d’un Homme mi-Ange
Et d’une Femme mi-Démon
Qui commence
Dans les profondeurs ensoleillées d’une journée en Mai
Premier rendez vous tant attendus était dans un café
A peine… Elle, est arrivée,
Que de tout son être … Elle s’est plongée
Dans son regard malicieux à l’éclat du nacré
Sans trop réfléchir … De tout … De rien, ils parlaient
Lui, de tout son Aura … De ses yeux … la dévorait
Angélique était leur matinée
JALOUSE … je suis jalouse de moi en elle … d’elle en moi
J’imagine … et Je ferme les yeux c’est si bon de rêver
Diabolique commence la soirée
j’effleure de mes lèvres la magie de son baiser …
Ma langue se faufile en douce cherchant à goûter le miel de ses pensées
Je ferme les yeux je m’abandonne, et je respire la paix
Son cœur à la chamade me porte sur des ailes, tremblante mon nirvana de lui si belle
M’entraîne, le réclame, le porte, le respirent et ça m’ensorcèle
je n’arrête point … ou justement il faut que j’arrête… que sera t’il demain
Mes esprits sautillent et dans tout les sens s’éparpillent
le soleil déjà brille … Allez réveilles toi …ma fille
Published by lili
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Poèmes Anciens
3 mars 1992
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17:06
Au cours d’une soirée d’hiver je humais délicieusement la fraîcheur de l’air
Je regardais le ciel brumeux et devant mes yeux s’est déroulé un conte peu fabuleux
Pour les gens peut être sa signification n’a rien de profond
Mais pour moi, c’était très important et vraiment touchant
Le bleu de la nuit colorait le blanc des murs
Quant j’ai aperçu un oiseau qui volait d’un endroit à un autre sans trêve
Il était affolé, trop énervé et tellement en effroi
Qu’il a faillit heurté la dureté d’un mur et se casser l’aile droit
Et voilà, que j’ai remarqué qu’il essayait de s’introduire dans un trou caché quelque part la bas
Un laps de temps s’est déroulé
Et l’oiseau est ressorti en emmenant son petit
Il voulait le pousser à voler
De derrière mon dos, me parvinrent à cet instant là
Le miaulement d’un gros méchant chat
Et je compris que l’oiseau essayait de sauver son petit en le changeant du nid
mais le destin n’a pas voulu
car le petit est tombé du haut … le vol était encore trop tôt
et la mer n’a pas pu le sauver et l’emmener sain et sauf au chaud
l’impatience, la peur l’ont aveuglé qu’elle a perdu son bien aimée
Dans son air paniqué, l’oiseau désespéré volait autour du petit
le pauvre la mort l’a déjà pris
il ne pourra jamais palpiter ses ailes
Et voler librement dans l’air pour voir la beauté de la mer
ou encore déranger les fleurs et chasser les vers
pour prouver qu’il est le meilleur sur toute la terre
La mort était plus forte et le destin plus cruel
La mère serait infiniment triste elle ne pourra jamais l’oublier parce qu’il était son premier
mais elle pourra recommencer de nouveau sa vie et avoir d’autres petits
Quant à lui il découvrira l’autre monde peut être le paradis
ce conte est resté gravé clairement dans la nuit de ma mémoire
parce que dans la vie c’est toujours la même histoire
Published by lili
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Poèmes Anciens
23 juin 1991
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12:24
Je t'écris pour une seule raison
c'est que je me suis apperçue que tu es un parfait ignorant
Et que tu as besoin de quelques leçons
Sur l'amitié, le plus nobles des sentiments
Ainsi que les relations entre filles et garçons
C'est vrai que je te trouve séduisant
Mais ce qui m'interesse vraiment chez un garçon c'est qu'il doit avoir
Un esprit intelligent, un coeur bon et l'âme d'un croyant
C'est désolant... Car ces qualités sont pour toi les manquants
Pour ton information, cher garçon
Ce n'est pas parce que j'ai passé en ta compagnie un laps de temps
Que je suis follement amoureuse de ton air avenant
Si tu crois vraiment celà ... Tu es vraiment un ânon
Cher Garçon,
Est ce que les sentiments les plus nobles pour toi ça n'existe pas
L'amitié c'est le don de soi, de son temps ... c'est le respect de l'autre ...
J'ai été déçue quant j'ai deviné tes pensées
Si tout les gens pensent de la même façon... ça sera vraiment alarmant pour le monde des être vivant
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Poèmes Anciens
6 mai 1991
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12:01
J'aime la lecture
Je la considère comme une cure
Elle enrichit mon esprit et rends mon âme plus pure
J'adore le livre
Il reflète le fort intérieur de l'homme
Il enregistre sa mémoire et ses éxploits si extra
La lecture décrit l'homme, juste au milieu de son empire
Elle raconte son passé
Elle indique son présent
Elle prédit son futur
Oh que j'aime la lecture
Elle me permet de vivre l'aventure
En toute libérté tant désirée
Afin d'échapper de l'ennuie de la vie
J'adore le livre
Parce qu'il n'est qu'un paradis perdu
On y découvre
La joie, l'amour, la douceur, la force, l'intelligence, la tristesse, le mal, l'amertume...
Enfin c'est une découverte simple et extraordinaire de notre attachement de notre amour pour la vie
Le livre pour moi, c'est comme un ami... Il faut le chérir et apprendre à le lire
Je le tenais contre mon coeur
Je sentais son odeur
Je touchais ses lèttres avec douceur ... Tout cela m'est nécessaire
Car l'abandonner ?!
C'est un crime d'une atrocité austère
C'est une torture pourtout mon être qui aime la lecture
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Poèmes Anciens
10 février 1991
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16:58
C’était en août que la saga de ce siècle a commencé
L’Irak avec folie et dignité a défié le monde entier
Le Roi FEHD, en proie est devenu sans foi A permis à l’ennemis de marcher sur une sainte terre Et l’écoulement du sang de ses frères De CUILAR, ce vilain renard qui soit disant refusait la guerre A permis l’assassinat d’un peuple innocent Mais le plus curieux et c’est vraiment malheureux C’est qu’il nous cesse de nous répéter Qu’il est si attristé du déclenchement des hostilités A Bagdad, l’armée Irakienne aussi allante Aussi astucieuse a fait perdre la tête à l’ennemie Qui dans son angoisse essayait de sauver la face En déversant des tonnes de bombes pour effacer toute un peuple de toutes ses traces SADDAM dans sa folie des grandeurs mais pleins d’ardeurs Face à un petit Bush criminel immoral et un si mauvais joueur Un Shamir si tremblant , attendant le pire a cause des tirs qu’Israël est entrain de subir Tout le monde se déchirent le passé d’un pays dans son avenir Mais pour l’Irak reste t’il vraiment un avenir ?
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Poèmes Anciens